Grande première anale

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il y a 6 ans

Grande première anale

L’autre soir, c’était une grande première pour Yvan et moi. Nous sommes ensemble depuis trois mois et, depuis le début de notre relation, il se montre intéressé par mon petit trou du cul. Je n’ai jamais été fermée à la sexualité anale, et nous avons toujours aimé jouer, jusque-là, avec nos rondelles. Il se plaît à me lécher le cul, me masser, me doigter longuement, fouiller l’intérieur de mon oeillet, et je lui rends la pareille. Par exemple, souvent, nous nous léchouillons réciproquement l’anus en 69. Mais, jusqu’à hier, je n’avais jamais accepté qu’il me sodomise. En effet, j’ai toujours pensé que mon oeillet était trop petit pour sa queue aux dimensions plus qu’honorables. Je dois reconnaître que j’avais peur de me prendre ses vingt-deux centimètres dans le fondement !

Ce soir-là, donc, Yvan m’a retrouvée dans la cuisine après le dîner. Je mettais les couverts dans le lave-vaisselle quand il est venu me prendre dans ses bras, par-derrière. Il m’embrassait dans la nuque, ça me chatouillait et me faisait rire. Il m’a dit que mon cul lui collait la gaule. Il m’a ordonné : « Viens vite dans la chambre ! » Je l’ai rejoint quelques minutes après, un peu excitée à l’idée que j’allais passer à la casserole et que, vu l’état dans lequel il était, ça allait être plutôt agité ! J’ai poussé la porte de la chambre et je l’ai trouvé nu, devant le lit, son appareil photo numérique à la main. Il m’a lancé : « Mets-toi à quatre pattes, petite chienne, et montre-moi bien ton cul ! » À entendre ça, j’ai commencé à mouiller grave.

Je me suis foutue à poil et je me suis exécutée. Il a pris quelques photos puis, sans lâcher son appareil, il s’est agenouillé sur le lit. Il m’a bien humé le cul qui dégageait une odeur corsée… Je n’avais pas eu le temps de me rafraîchir dans la journée ! J’avais chaud, et je sentais ma petite chatte suintante de mouille. J’ai dit à Yvan : « Lèche-moi bien le cul, puis sodomise-moi, ce soir j’en ai envie. Je veux que tu me pines bien par-derrière, je veux que tu me dilates le fion, et que tu me gicles dans l’intestin… » Il a craché à plusieurs reprises sur ma pastille, a ouvert un peu la voie à l’aide de son index, puis a posé son gland sur mon anus. Le premier centimètre est entré, je griffais les draps… J’ai retenu un cri de douleur… ça ne passait pas !

Alors, j’ai eu l’idée de me placer sur le dos. J’étais sûre que ce serait plus facile, et je ne m’étais pas trompée! Malgré la brûlure du début, qui a duré quelques secondes, sa grosse bite a fini par glisser tout entière dans mon cul. Ce salaud a même imm o r t alisé ma douleur ! Il s’est enfoncé jusqu’aux couilles. Au bout d’un moment, je ne ressentais plus que du plaisir. C’est même moi qui venais m’empaler sur sa queue. C’est bon de se faire remplir comme ça !

Je bougeais d’avant en arrière, c’était délicieux. Ma chatte coulait et lubrifiait mon cul, son engin coulissait facilement, et me défonçait de plus en plus fort. Il m’enculait, il m’enculait et, en même temps, je me pinçais les tétons durcis par l’excitation. J’ai senti l’orgasme monter, il m’a arraché un cri venu du fond de mon ventre. Les muscles de mon anus se sont contractés si fort autour de sa tige qu’il n’a pas tardé à jouir à son tour.

Je suis heureuse d’avoir fait ce cadeau à mon chéri. Et heureuse aussi de vous montrer les photos qu’il a prises. Désormais, je lui offrirai mon petit trou le plus souvent possible. J’appréhendais la sodomie, il en a fait mon plat préféré…

Maya

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